Et se rendre compte à la fin (milieu), que l'auteur n'a jamais eu le temps de mettre un point final à son œuvre.
Le trépas avant la chute.
Je dois avouer que je trouve ça relativement frustrant. Surtout quand ça m'arrive deux fois d'affilé.
Oui, certes. J'aurais pu me renseigner avant de me lancer.
Mais où se situe la jouissance des premières fois lorsqu'on connaît déjà l'histoire de l'Histoire ?
D'ailleurs, il m'est arrivé de me renseigner sur l'Histoire autour de l'histoire de l'Histoire (trois histoires différentes, j'espère que vous suivez) et, par là, de réussir à me divulgâcher (comme dirait nos plus fines plumes francophiles à défaut d'être francophones) la fin du bouquin.
C'est là ma condition, somme toute bien humaine.
Pourquoi ces méditations sans queue ni tête ? Juste pour énoncer ceci : le plaisir de la découverte, l'innocence et la naïveté de notre Nature lorsqu'elle se pose sur un nouvel objet d'intérêt, est une joie qui me tient à cœur. Je vous exergue à en tirer pleinement profit. Et choyez-la. Un rien peut la bouleverser.
La mort en premier lieu.
J'espère que vous aurez compris l'essence du message caché derrière ces élucubrations d'exalté.
Et j'espère que vous comprendrez que tout ceci ne se limite pas à la littérature.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire